Artiste du spectacle vivant (danse/chant/théâtre) et écrivain
Formateur AFDAS

Intervenant Université Nancy I (UFR-Staps et ICN)
Formateur National et Membre des Jurys d’Etat B.E.G.D.A. de 1987 à 1992
Membre SACD et SACEM

Patrick CHAUVELOT est chorégraphe et metteur en scène.

Il a réalisé vingt et un ballets, pièces de théâtre et opéra rocks professionnels depuis 1985. Il est directeur de la compagnie Amnésia de Nancy depuis cette date.
Il écrit ses spectacles.

Réalisations scéniques :

TAN
LOFT 85
DEAD CALL BOY
DEAD IN A LOFT
AMRITAM
LE SOUFFLE
ALMICANTARA
CARREFOUR CIRCULAIRE
MURMURES
LES NUAGES DE MAGELLAN
ZAPPING
FLEUR DE PEAU
LE SACRIFICE D’AHNÄ KÂA
LE CYCLE DES VIES
ANIMA
”HAIR”(extraits)
ASHANTI
LES ECUS de SOBIESKI
PRELUDE A LAISSER ENTRER LE SOLEIL
FLORILÈGES
2057, AVENUE
DÉFENSE D'ENTRER.

Dernière production : « DÉFENSE D'ENTRER»

“DÉFENSE D'ENTRER" (automne 2006) “ est un spectacle de Culture Scientifique, incluant une exposition vivante, un déambulatoire à travers les rues de Nancy et un spectacle de danse contemporaine, écrit par Patrick CHAUVELOT. Cette pièce réalisation a à son tour obtenue un vif succès et de très bonnes critiques régionales.

Ecriture :

Patrick a écrit plusieurs ouvrages conséquents.

Des romans :

2005 : Prémonition (titre provisoire)

2004 : Le cas Jallil Bontemps

2002 : 2057, avenue

2002 : Le secret Fontencieux

2001 : Les “Hameau de Grandchamp“

2001 : Les coulisses d’Anastasia

Des pièces de théâtre :

2003 : “2057, avenue » (adaptation du roman éponyme)

1998 : Les écus de Sobiesky (mis en scène professionnellement en 1999)

1993 : Le sacrifice d’Ahnä Kâä

Des essais :

1993 : Ahnä Kâä

1991 : La fêlure de l’oeuf cosmique

1987 : Amritam

Patrick Chauvelot a créé sa compagnie en 1982. L'association qui soutiendra ses œuvres naît en mai 1984. Mais réduire le travail de Patrick à ses créations artistiques serait faire l'impasse sur d'autres facettes de sa personnalité.
Son parcours se caractérise par son humanisme, et notamment sa constante interrogation sur la raison d'être de l'existence humaine, et sur les voies de progrès qui mènent les sociétés vers l'avenir.
C'est pour cette raison que très tôt, à l'âge de dix-huit ans, il fera cette rencontre avec le grand philosophe de l'Inde moderne que fut Sri Aurobindo. Ce sage devient son maître à penser et oriente la majeure partie de son travail vers un optimisme sans cesse renouvelé. Et au cœur de toutes les turpides de la vie des Hommes, il y a naturellement le corps, la santé, la maladie, et le devenir. Ce corps qui va être l'axe de son œuvre, l'axe de ses créations, l'axe de ses recherches.
Ainsi naîtra Amnésia, la danse, les formations professionnelles offertes bénévolement à plus de deux cents artistes en vingt ans.
C'est aussi, et peut-être surtout, la recherche permanente sur le travail corporel, l'intégration de l'esprit dans le corps : comment habite-t-on ce corps que l'on connaît si mal, qu'on appréhende à tâtons, ou qu'on ignore souvent, jusqu'à ce qu'il nous rappelle à l'ordre en disant "stop, occupe-toi de moi".

Ce sont plus de deux milles personnes qui participeront à ces séminaires et formations diverses ces dix dernières années. Spécialisé dans le travail du placement corporel, son renom ne cesse de grandir. C'est la raison pour laquelle l'université Henri Poincaré de Nancy fera appel à ses services et à ses connaissances précises dans le fonctionnement du corps humain pour enseigner son savoir. L'ICN l'a appelé récemment dans ses rangs pour son savoir faire dans le domaine du développement personnel et de la dynamique du groupe : écoute et respect de l'autre.

Mais le corps, c'est aussi la maladie. C'est ainsi qu'il militera à la fin des années 80 pour la recherche contre le SIDA.
En 1989, il met sur pied un festival de danse qui se tiendra à la Salle Poirel de Nancy, en collaboration avec Madame Hélène Mazet-Bekroubher, alors Présidente fondatrice d'AIDES Lorraine.

En mai de la même année, il s'engage de la même manière avec l'UNICEF, également à la salle Poirel. Il remontera avec sa compagnie le spectacle ALMCANTARA, et l'intégralité de la recette ira cette fois aux enfants déshérités, ainsi que les droits d'auteur.